Un business model pour fidéliser le client contre son gré

(C’est un business model que je déteste)

La viabilité et la rentabilité d’une entreprise sont directement lié à la fidélité de la clientèle. De nombreuses entreprises cherchent non seulement à gagner des clients mais aussi à les empêcher de partir voir la concurrence.

Le modèle économique « des rasoirs » est une stratégie qui repose sur cette idée simple mais puissante : vendre le rasoir à un prix cassé, tout en proposant des lames à un prix plus élevé.
Le client ne peut utiliser que les lames de cette société pour son rasoir : le client est fidélisé sans son consentement.
On créer une dépendance du consommateurs envers les lames de rechange, générant ainsi des revenus récurrents stables.

Les éléments clés à mettre en place :

Produit principal peu coûteux : un rasoir à prix cassé

La première étape de cette stratégie consiste à proposer un produit principal à un prix compétitif, voire même à un prix réduit. L’objectif est d’attirer les consommateurs avec un produit de base abordable, ce qui les incite à venir chez vous et non chez la concurrence.

Compléments coûteux : des lames chères

La véritable moteur réside dans les produits complémentaires ou les consommables. Dans le cas du rasoir, ce sont les lames de rechange. Ces éléments sont vendus à un prix plus élevé, garantissant ainsi un chiffre d’affaire considérable pour l’entreprise.

Capturer les clients : lames incompatibles entre marques différentes

L’objectif est de fidéliser les clients en créant une dépendance à l’égard des produits complémentaires.
Une fois qu’un consommateur a investi dans le produit principal, il n’achètera probablement pas encore un nouveau rasoir. Il achètera par conséquent des consommables auprès de la même entreprise car les autres ne sont pas compatibles avec son rasoir.

Innovation continue : limiter la durée de vie, détruire la concurrence

Si on peut diminuer la durée de vie du produit complémentaire, on augmente la fréquence d’achat et son chiffre d affaire !
Il faut réduire la qualité des lames, rendre leur produit principal encore moins compatibles avec la concurrence. Racheter les entreprises concurrentes qui ne jouent pas le jeu. Cela maintient le consommateur prisonnier de la marque.

Le business model « rasoir et lames » a évolué au fil des ans et est devenu une stratégie courante dans divers secteurs.
Voici d’autres exemples d’utilisation de ce modèle :

Imprimantes et cartouches d'encre : Les fabricants d'imprimantes vendent souvent les imprimantes à des prix relativement bas, mais les cartouches d'encre sont coûteuses. Les utilisateurs sont ainsi obligés d'acheter des cartouches de la même marque pour leur imprimante.

Consoles de jeu et les cartouches de jeux vidéo : Les fabricants de consoles de jeu vendent les consoles à des prix abordables, mais les jeux vidéo sont vendus séparément à un prix élevé. Les joueurs sont ainsi obligés d'acheter des jeux qui fonctionnent avec leur console. Il est de plus facile dans cet écosystème de faire payer les fabricants de jeux vidéo qui veulent profiter de cette clientèle.

Cafetières à capsules et capsules de café : Les fabricants de cafetières à capsules proposent des machines mais les capsules de café sont chères. Les consommateurs sont coincés et doivent acheter ces capsules pour leur machine.

Conclusion :

Ce modèle économique a été popularisé par Gillette, il est aujourd’hui utilisé dans divers secteurs et continue de prouver son efficacité.
Pour les entreprises, c’est un moyen de garantir la stabilité financière à long terme. Pour les consommateurs, cela signifie généralement un investissement initial moins élevé, suivi de coûts récurrents pour les produits complémentaires.

Ce modèle est facilement reconnaissable pour les sociétés qui vendent des produits physiques mais il est également appliqué pour la prestation de service… et la politique !

Comment chercher du travail sans motivation ?

Vous savez comme moi que rechercher du travail ce n’est pas facile. On envoie des courriers, des mails. et on attend.

Pas facile de rester motivé quand la situation se prolonge et que rien de positif arrive. Le découragement planningguette. Et le pire à faire c’est de rester sans rien faire. Non seulement ça laisse tout le temps de ruminer dans son coin mais en plus ça fait un trou enorme dans le cv.

La glande, ça donne une mauvaise image de soi aux autres. Et après On finit par se dévaloriser tout seul.

La seule chose qui marche réellement c’est de se fabriquer une routine. Tout doit devenir un automatisme comme se laver les dents le soir ou s’arrêter au feu rouge.

C’est une technique que j’ai découverte en travaillant seul chez moi. J’ai lancé des sites web et des boutiques en ligne. En général, ça me prend des mois pour qu’un site tourne bien. Alors pour persévérer en attendant les résultats concrets (c’est à dire l’argent) J’ai testé tout un tas de méthodes pour garder la pêche et améliorer ce qui doit l’être.

Voilà ce qui ne marche pas :

  • Faire des listes de choses à faire
  • Se fabriquer un emploi du temps de ministre (trop rempli)

Mon planning actuellement (*)
Lundi : rédaction de 4 ou 5 articles pour mes sites (poster la semaine d’après)
Mardi : bilan des ventes et des visites sur mes sites, choix stratégiques pour améliorer tout ça
Mercredi : commandes aux fournisseurs si besoin et recherches de produits intéressants
Jeudi, vendredi : repos
samedi : vidéo payante (vendue seule ou pour accompagner un produit)

En s’inspirant de ce que je fais, une routine de recherche d’emploi ça pourrait donner ça :

Lundi : candidatures annonces
Mardi : candidatures spontanées (recherche entreprise et qui contacter dans l’entreprise)
mercredi : journée réservée aux projets perso (enfants, jardinage, hobby etc.)
jeudi : relances téléphoniques suite candidatures
vendredi : chercher d’autres solutions (formation complémentaire, se mettre à son compte etc.)

En faisant chaque semaine la même chose, on se prend moins la tête. C’est le seul moyen de persévérer.

L’avantage avec cette organisation est qu’elle est très souple. On s’engage à faire peu. C’est le seul moyen de prendre une bonne habitude. Ça va devenir un vrai besoin et ça va devenir très facile !

 

(*) Je suis aussi salarié dans une entreprise.

Le plus court chemin vers le CDI

Vous êtes au chômage et vous recherchez activement une entreprise pour vous accueillir. Vous cherchez un CDI ? Peut être que la route la plus rapide est de monter votre propre cdientreprise.

Ça peut paraître déroutant.

Ben oui, pourquoi tous les chômeurs devraient monter leur business s’ils veulent devenir salariés ?

C’est de l’énergie de perdue après tout non ?

Le problème au chômage c’est qu’on ne donne envie à personne. On se lève et on n’a pas de choses précises à faire, on glande beaucoup. Il faut l’avouer. On passe pour un paresseux, un nul ou les 2 à la fois.

Pour couronner le tout : on est fauché. Les indemnités chômage, c’est pas le Pérou.

Si on met toute son énergie à candidater à gauche et à droite, on peut réussir mais on dépendra exclusivement du bon vouloir des recruteurs. Parfois ça ne marche pas. La France compte des millions de chômeurs alors c’est pas évident de trouver un bon boulot.

Les recruteurs nous reprochent d’être trop jeune, trop vieux ou pas assez diplômé. C’est la spirale infernale et on va d’échec en échec. Il faut en sortir.

Contrairement à ce que pense beaucoup de gens, le plus simple est de créer un petit business et c’est lui qui vous ouvrira les portes de d’entreprise.

Comment est ce possible ? Vous trouvez ça contradictoire ? Contre productif ? Votre énergie serait mal employée si vous deviez créer votre propre activité ?

Je vais tout vous expliquer.

J’ai été moi même un chômeur et c’est en devenant mon propre patron que j’ai réussi à trouver un CDI et même plusieurs puisque je change régulièrement de travail. Je cherche à profiter de toutes les opportunités qui se présentent. Pour dire vrai, c’est des opportunités que je me crée.

A la fin de mes études, personne ne voulait de moi et j’en ai été très vexé. Mais comment blâmer ces recruteurs qui refusaient mes candidatures si je ne croyais pas en moi ?

En désespoir de cause, j’ai crée ce que j’ai pu : au début des sites internet. Ça demande du travail mais on peut démarrer sans argent. Ça tombe bien j’en avais pas.

Mes premiers sites n’ont pas marché. J’avais 10 visiteurs par jour… C’était vraiment nul…, mais puisque ces sites étaient désert j’en avais pas honte puisque personne ne les voyait.

J’ai appris beaucoup de mes erreurs. Il fallait faire venir les visiteurs et surtout les faire rester et acheter. Il me fallait des ventes pour gagner de l’argent.

Vendre de la marchandise ou des services c’est un peu la même chose que de se vendre soi même avec un courrier. On étudie le client, on cherche à l’intéresser. On lui propose des produits et les ventes démarrent. Petit à petit, l’argent arrive sur le compte. La confiance revient.

Cette réussite se sent dans les candidatures et surtout dans les entretiens d’embauche. Je crois que la différence se fait là.

Je n’étais plus le nul mais j’étais le mec qui agit, qui apprend. En plus ma vie ne dépend plus uniquement de mon travail salarié. J’ai ma petite entreprise qui tourne.

L’idée à garder en tête : il faut donner envie aux autres. C’est le moteur de tout. La clé de la réussite.

Pas besoin d’être un génie loin de là. Un imbécile qui marche va toujours plus loin qu’un intellectuel assis. Si en plus vous êtes doué quelque soit le domaine, vous avez toutes les cartes en main pour faire une belle carrière.

Si personne pour l’instant ne vous fait confiance, il est temps de lancer un petit business. C’est d’autant plus nécessaire si vous ne croyez pas en vous. Se lancer permet d’apprendre et de prendre confiance. D’abord à petite échelle et ensuite une fois la machine enclenchée plus rien ne vous arrêtera.

On apprend en faisant pas seulement en allant à l’école. Cette expérience vous servira d’abord à gagner de l’argent. Et ensuite à montrer que vous aussi vous êtes intéressant.

Dans les affaires, vous devez aller vers les autres pour trouver des clients. Vous devez être à l’écoute de leurs besoins et réussir à les satisfaire. Le relationnel ça s’apprend au fil du temps. Rien de mieux que d’être son propre patron pour le sentir et progresser.

Vous gagnerez une expérience incomparable. Vous aurez une longueur d’avance sur tout ceux qui restent le cul sur leur chaise à attendre le CDI de leur vie. C’est à vous que l’on proposera des CDI sans même le demander.

Face à un recruteur, vous serez toujours celui qui n’a pas besoin de l’autre. Vous serez enfin serein. Votre vie ne dépendra plus de son bon vouloir. Avec votre entreprise, vous êtes indépendant. Vous n’êtes plus là à mendier un emploi. Ce détachement est ce qui plaît aux recruteurs. Vous aussi, lancez vous.

J’ai pas mal roulé ma bosse sur internet : des échecs d’abord, de beaux succès ensuite. J’en ai fait une formation : elle vous évitera de galérer comme je l’ai fait à mes débuts. Vous pourrez avoir une activité rentable en quelques semaines de travail.

C’est ici que vous trouverez tous mes secrets.